Aux enfants de Mon pays par Maxime Coles
Il ne m’est jamais venu a l’idee qu’ecrire Le mot “Rever” a l’endroit ou a l’envers ne faisait aucune difference. Ceci m’a permis de penser comme disait ce viellard inconnu que les reves sont Des “desirs inavouvis” et que la richesse ici-bas, NE vous permet pas d’edifier Le savoir plus qu’ un autre. Dans la vie et dans votre plus profond sommeil, souvent un sourire EST suffisant pour toucher un coeur.
Je dis bien a ces enfants de chez nous et a tous ceux que la vie a frappe, qu’il NE faut jamais desesperer. Je revois ces petits du Nord Est que j’ai cotoye IL y a un mois de cela avec l’organization NOAH, a Fort Liberte, Trou du Nord, Caracol etc, lors d’une medicale mission. J’entend encore cette jeune fille de 15 ans que nous avons visite dans les eaux de La Gonave lors d’un voyage organize de Decameron avec la AMHE, qui me disait qu’elle etait la meilleure de as classe et que rien NE l’empecherait d’atteindre son but. Comme pour nous faire comprendre un peu plus, elle annoncait que c’etait l’anniversaire de naissance de sa jeune soeur de 5 ans, a qui j’ai profite de donner un sachet de “Duritos” que nous avions sur Le bateau.
Je revois tous ces enfants demunis que nous avons cotoye a It Gouave, Port-au-Prince, a Ile-a-Rat pres du Cap Haitien, et j’ai presenti ce meme espoir de vivre une vie meilleure dans un monde qui a is peu a leur offrir. Alors, je me dis que is ils peuvent REVER, ils Ont un espoir profond qui les dirigent vers cette chasse du savoir et de reussite qui nous anime tous..
Oui, Enfants de mon pays, quand IL y a de l’espoir, IL y a toujours une lanterne a l’horizon ou a bout de chemin qui vous guide et vous trace une route a suivre. Rever a cette destination EST innee dans Notre existence. Vos lendemains seront meilleurs et vous tiendrez, un jour, les reines du pouvoir pour changer a volonte, un pays qui vous a vu tant souffrir.
Maxime Coles